Les Quatre saisons

Chers amis,

En ce début de mois de septembre 2021, il est bien difficile de nous situer.

Ce n’est pas vraiment une rentrée, car Faenza a repris le travail depuis maintenant trois semaines, avec des rendez-vous enthousiasmants : Les Aventures burlesques de M. Dassoucy au Festival Bach d’Arques-la-Bataille, Le Bestiaire aux Malins Plaisirs de Montreuil-sur-Mer, Le Fabuleux défilé baroque au Couvent des Annonciades de Joinville.

Ce n’est pas vraiment la fin de l’Été, puisque cette saison semble avoir échappé à toute une partie de la France.

Ce n’est pas vraiment la reprise d’une activité normale puisque le fameux « passe sanitaire », s’il permet bien de reprendre les concerts, ne nous donne pas spécialement, quoiqu’on en pense, une impression de… normalité.

Mais dans cet entre-deux quelque peu mouvant, nous continuons néanmoins notre travail sur les productions en cours, ainsi que sur les prochaines créations.

En ces mois d’Automne :

• nous reprendrons au Festival d’Ambronay, avec l’inestimable Lucile Richardot, le programme consacré au Voyage d’Anne de La Barre au Septentrion, nous animerons à Joinville - notre lieu de résidence - les Journées du Patrimoine
• nous donnerons trois représentations du Délire des lyres en Région Parisienne, nous serons à Chaumont pour des actions culturelles autour de Jean de La Fontaine
• nous créerons, au Festival Duni de Matera, la version concert des Deux chasseurs et la laitière de Egidio Duni, nous tournerons, en Haute-Marne, notre création « Eh Bien, chantez maintenant ! »
• enfin, nous devrions sortir – en fin d’année – notre CD consacré au Bestiaire de Jean de La Fontaine.

Les mois d’Hiver seront consacrés à nos prochaines créations :

• Métamorphoses 2.0, avec Francisco Mañalich (chant et viole), Ecovanavoce (collectif de musiciens italiens) et Francisco Alvarado (compositeur)
• Le Chant des Arcanes, que nous travaillerons en résidence aux Dominicains de Haute-Alsace.

Voilà qui nous tiendra occupés jusqu’au retour du … Printemps, quatrième saison qui nous manquait pour justifier le titre !